les alliances

Avec ses anneaux à l’esthétique à la fois radicale et aérienne en Or 750 blanc, jaune et rouge, LE GRAMME a exploré l’ objet symbole de ceux qui s’aiment : l’alliance.

S’allier avec quelqu’un, pour vivre, être plus fort, pour durer... L’alliance, cet anneau qui symbolise la promesse d’un amour véritable porte particulièrement bien son nom.

Un cercle sans commencement ni fin, première forme tracée par les hommes, qui devient un signe infini quand on la duplique et l’assemble, et qui ouvre l’espace d’un « nous » quand on l’entrecroise. Un cercle pour exprimer finalement le cycle d’une vie à imaginer et faire avec l’autre.
« S’allier avec quelqu’un, pour vivre, être plus fort, pour durer... L’alliance, cet anneau qui symbolise la promesse d’un amour véritable porte particulièrement bien son nom. »
Six mille ans avant notre ère, les égyptiens portaient déjà une alliance en or le plus souvent, ils voyaient dans ce cercle un signe d’éternité, son espace vide central représentait pour eux un passage vers le connu et l’inconnu, le début d’un voyage avec l’autre. Le choix du port à l’annulaire été alors lié à leur croyance -infondée depuis- d’une veine partant de ce doigt pour aller au coeur, cette notion fut d’ailleurs reprise sous le nom de « Vena Amoris » par les romains. On doit d’ailleurs à ces derniers la gravure sur les alliances bien qu’ils y aient plutôt vu à l’époque l’expression d’une propriété qu’un signe amoureux !

En Chine, l’alliance se porte également à l’annulaire, ce doigt représente le conjoint - il est le seul à ne pas bouger lorsque l'on joint les deux paumes avec les majeurs repliés vers l'intérieur des mains et que l'on tente de décoller les doigts similaires deux à deux - ainsi les parents (pouces), les enfants (auriculaires) et la fratrie (index) vivaient ou vivront indépendamment. Mais l’exotisme est parfois de mise dans le port de l’alliance, comme chez les mariés hindouistes qui la porteront sur le deuxième orteil.
« On doit d’ailleurs à ces derniers la gravure sur les alliances bien qu’ils y aient plutôt vu à l’époque l’expression d’une propriété qu’un signe amoureux ! »
Les chrétiens, quant à eux, utilisent l’alliance depuis le 9ème siècle seulement, comme le signe d’une présence réciproque jusqu’au moment de l’absence physique et par-delà la mort, inscrivant l’alliance des époux dans celle de Dieu avec l’humanité. Au fil de l’histoire et du monde, l’alliance est finalement toujours le signe universel de deux personnes qui décident de regarder dans la même direction plutôt que de se regarder l’un l’autre.
La matière de l’alliance a longtemps reflété le niveau social tant que le métal précieux n’était pas accessible à tous, un sujet assez épineux au 15e siècle en Irlande puisque un mariage consacré avec des anneaux qui n’étaient pas en or n’avait aucune valeur légale. Depuis, l’or s’est démocratisé pour le plaisir des mariés, chez LE GRAMME il est façonné en joncs, demi-joncs et rubans de largeurs et épaisseurs différentes, puis travaillé d’une empreinte lisse ou guilloché et parfois serti de diamants.
LE GRAMME propose une collection d’alliances aux formes toujours absolues et universelles dans lesquelles chacun pourra se refléter, révéler son amour pour l’autre, exprimer ou non sa croyance ou ses rituels : une demande en mariage les jours impairs uniquement (Russie), un trou dans la chaussette du marié le jour J (Danemark), une cuite avec son futur beau-père la veille (Laponie), une femelle yack en dot (Tibet), sept sauts autour du feu (Inde), trois gorgées de saké dans trois tasses (Japon) ou même pleurer en groupe pendant une heure trente jours de suite (Peuple Tujia/Chine) ... Que l’on jette du riz ou des petits pois (République tchèque), l’alliance sera toujours le symbole de l’amour.
« Que l’on jette du riz ou des petits pois (République tchèque), l’alliance sera toujours le symbole de l’amour. »
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